Votre patrimoine numérique et votre vie privée numérique

L’année 2020-2021 a été une année riche d’actualités…

Sur les sujets qui intéressent Treasy également !

 

Nous profitons de cette période estivale pour écrire un nouvel article dans le Blog Treasy, dédié à vous informer sur les meilleures lectures que nous avons eues au cours de l’année écoulée.

 

Cet article contient un résumé des nouvelles et nouveautés relatives à votre patrimoine numérique et à votre vie privée numérique, thématiques chères à Treasy comme vous le savez sans doute déjà.

 

Nous parlerons, sous forme de nouvelles courtes, des sujets qui ont fait l’actualité dans ce domaine : accumulation de fichiers numériques, attachement des internautes à leurs données personnelles, et nouveautés chez les géants du Web concernant le traitement de vos données dans leurs services.

 

Nous espérons que tout cela vous intéressera et vous permettra de rester informés et à jour sur ces sujets !

 

Chez Treasy, nous restons attentifs à l’ensemble de ces questions, plus que jamais et avec conviction.

 

N’hésitez pas à commenter cet article ou à poser toute question !

 

En vous souhaitant une très bonne lecture, et vous remerciant pour votre attention.

 

L’équipe Treasy

Vous aussi, vous seriez un « accumulateur numérique » ?

Tels de petits écureuils, certains de nos congénères ont la fâcheuse tendance à accumuler tout et n’importe quoi (vêtements, livres, bibelots de toutes sortes…). Qu’en est-il de cette tendance concernant nos « possessions numériques » ?

 

Un professeur à l’Université de Northumbria au Royaume-Uni a réalisé plusieurs études et dirige même un groupe de recherche sur le sujet. Il nous explique qu’il y a quatre types d’accumulateurs numériques (on vous invite à réfléchir dans quelle catégorie vous vous trouvez ! ) :

  • Les collectionneurs: organisés, méthodiques, ces « control-freaks » accumulent des données bien précises ;
  • Les accumulateurs « accidentels »: désorganisés, ils ne savent pas vraiment combien de données ils stockent ;
  • Les accumulateurs « sur demande »: ils conservent le maximum de données pour ne pas se retrouver dans une situation compliquée par rapport à l’entreprise qui les emploie ou les situations qu’ils doivent gérer ;
  • Enfin, les anxieux, qui ont développé des liens émotionnels forts avec leurs données.

 

Une enquête menée en 2019 révèle qu’une majorité de gens n’effacent aucune de leurs données professionnelles par peur d’en avoir besoin un jour !

Certains accumulent des dizaines de milliers de mails et des millions de fichiers (images, films, documents) qu’ils ne regarderont ni n’écouteront jamais sur leur ordinateur. Un long article d’Ars Technica nous dévoile des « hoarders » qui se sont mis en tête de digitaliser tout et n’importe quoi, et qui s’échangent des liens et des conseils sur comment sauvegarder le maximum de données. Pourtant, ce « digital hoarding » est considéré par les spécialistes en psychologie comportementale comme un véritable trouble obsessionnel compulsif…

 

Ces attitudes sont totalement contre-productives : les serveurs utilisés pourraient être très largement allégés, les données qui trainent peuvent également fuiter plus facilement, sans parler des conséquences environnementales…

 

Heureusement, il y a des solutions. Vous avez fait le bon choix en consultant cet article Treasy puisque Treasy est là pour vous aider à transformer sereinement votre accumulation en un patrimoine numérique centralisé, trié, classé, et sécurisé !

Quelles sont les données personnelles auxquelles les internautes sont le plus attachés ?

Ces derniers mois, les cyberattaques se multiplient et il arrive ainsi régulièrement que les données personnelles fuitent sur Internet. C’est ce qui semble s’être passé dernièrement chez LinkedIn où les informations de 700 millions d’utilisateurs ont été mises en vente sur le dark web. Une information qui a toutefois été démentie par le réseau social professionnel…

 

Dans ce contexte très tourmenté, la société Nord VPN a lancé un sondage mondial rendu public à l’été 2021 afin de connaître les types de données personnelles auxquelles les internautes sont le plus attachés. Des personnes issus de France, d’Australie, des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni, d’Allemagne, des Pays-Bas, et de Pologne ont répondu à cette enquête.

 

Cette étude mondiale permet de connaître les priorités des internautes quant aux données les concernant qu’ils ne veulent surtout pas voir fuiter.

Les internautes craignent principalement que leurs transactions financières ne soient dévoilées en ligne. Pour la France, 74 % des répondants font part de craintes de ce type, il en va de même pour les Américains (72 %) mais aussi les Canadiens et les Britanniques avec respectivement 82 et 77 % d’internautes inquiets.

Parmi les autres sujets de préoccupation, on retrouve notamment le partage de photographies personnelles, des historiques de navigation, ou encore des conversations privées qui pourraient ainsi fuiter. À noter néanmoins que cette perspective inquiète beaucoup moins les internautes puisque les taux de réponses positives se situent tous en-dessous des 50 %.

 

Et vous ?

 

Chez Treasy, vos données personnelles et votre intimité numérique sont en sécurité puisque nous n’en ferons jamais aucun usage ou exploitation commerciaux, soyez tranquilles.

Le degré de confiance des internautes envers les services en ligne concernant la protection de leurs données personnelles.

Début 2021, de nombreux scandales liés à la sécurité des données personnelles ont émaillé l’actualité. Le plus important concerne Facebook qui a dû faire face à une fuite massive concernant 533 millions d’utilisateurs, dont 20 millions de Français.

Un peu plus tard, nous avons appris que les informations personnelles de près d’un demi-milliard d’utilisateurs de LinkedIn avaient été mises en vente.

Enfin, des hackers ont mis la main sur une base de données comportant les datas d’un million de profils de Clubhouse.

Cette actualité contribue à nourrir un certaine perte de confiance de la part des utilisateurs envers les géants du Web.

 

Une étude récente menée par l’Université de Sydney s’est justement penchée sur ce phénomène. Pour les besoins de cette étude, 1000 internautes venus des États-Unis, du Royaume-Uni et d’Australie ont été interrogés. Ils ont alors fait part de leur préoccupation quant à la protection de leurs données personnelles. Ce fut le cas de 65,9 % des utilisateurs de Facebook, 59,3 % de ceux qui sont sur TikTok, et 53,3 % des habitués d’Instagram. En ce qui concerne la publicité ciblée, l’utilisation des données personnelles est un vrai sujet de d’inquiétude pour les utilisateurs de Facebook : 65,4 %, mais aussi de YouTube, d’Instagram et Twitter à respectivement 59,4%, 52,3%, et 45,6 %.

 

Ces résultats ont été suffisamment pris au sérieux pour que même ces GAFAM communiquent désormais beaucoup plus sur leur politique de « protection » des données personnelles de leurs utilisateurs.

 

Nous en pouvons que saluer cette prise de conscience, et observer comment elle sera suivie d’effets !

Les limites des Clouds gratuits : Google a annoncé la fin du stockage gratuit et illimité sur Google Photos.

Lorsque Google a lancé son application Photos, l’un de ses principaux arguments était que l’app permettait de stocker autant de photos que vous voulez, sans limite (sauf le droit pour Google de compresser vos images).

 

Mais cette offre a pris fin le 1er juin 2021. Depuis, les nouvelles photos que vous mettrez sur Google Photos sont stockées gratuitement seulement sous un quota de 15 Go, qui est offert à tous les utilisateurs. Une fois ces 15 Go dépassés, il est nécessaire d’acheter de l’espace de stockage supplémentaire.

 

A noter que, même dans les formules payantes (et abordables), les ordinateurs de Google analysent vos images pour collecter des données et vous proposer des publicités ciblées. Les amateurs de vie privée devraient s’en émouvoir… et donc les utilisateurs de Treasy, soucieux de l’absence de commercialisation de leurs données !

 

Chez Treasy, nous ne sommes pas géants, nous ne sommes pas gratuits mais nos valeurs autour de la confidentialité de votre patrimoine numérique sont toutes autres.

Les limites des Clouds gratuits : Google supprime désormais les contenus des utilisateurs de Google Drive qui seront inactifs pendant deux ans.

Autre changement notable, chez Google Drive cette fois, depuis le 1er juin 2021. Lors de la mise à jour de sa politique sur le stockage en ligne, il a été décidé qu’à compter de l’été 2021 Google se réserve le droit de supprimer le contenu stocké par un utilisateur de Google Drive, si celui-ci n’utilise plus le service.

 

Plus précisément, si vous êtes « inactif » pendant 24 mois ou si vous avez dépassé votre espace de stockage pendant une durée de deux ans, Google peut supprimer les contenus des produits sur lesquels vous êtes inactif ou excédentaire.

 

La firme de Mountain View a donc débuté un ménage de printemps de ses serveurs ! Soyez vigilants, si vous détenez une partie de votre patrimoine numérique sur ces supports gratuits, aux courriels d’information que vous recevrez à ce sujet si vous êtes concernés.

Twitter s’est penché sur la question du sort après vous des données qu’il détient via vos comptes.

En effet, Twitter a annoncé suspendre la suppression des comptes inactifs pour ne pas affecter ceux des morts. Le réseau social voulait supprimer les comptes inactifs depuis plus de six mois (en mettant en application une règle déjà existante dans leurs CGU mais jamais réellement mise en œuvre jusque-là), notamment pour se mettre en conformité avec la réglementation européenne en matière de protection de la vie privée (RGPD).

 

Mais c’était sans compter sur les utilisateurs qui se sont pour certains immédiatement émus de voir disparaître les comptes et les tweets des personnes mortes, et donc inactives.

 

Le réseau social géant s’est finalement rendu à l’évidence qu’il devait, d’abord, trouver une solution pour archiver ceux des utilisateurs morts.

 

Chez Treasy, la reconnaissance du patrimoine numérique des citoyens et le respect de ce dernier est l’un de nos piliers. Nous ne pouvons que nous réjouir que les géants du Web, sous l’impulsion de leurs utilisateurs conscients de leurs droits et responsables, prennent en considération une telle demande de préservation de contenus numériques, au nom du respect de la mémoire de l’utilisateur.

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